Les composteurs de la résidence Origine Trévoux ont été retirés en début d’été.
Cette décision a été prise après réflexion, car leur gestion demandait une implication plus importante qu’il n’y paraissait.
En effet, pour qu’un compost fonctionne correctement et sans nuisance, plusieurs conditions devaient être réunies :
- Formation initiale : la personne en charge devait suivre 1 à 2 jours de formation afin de bien maîtriser les bonnes pratiques.
- Entretien régulier : un suivi de 2 à 3 interventions par semaine était nécessaire (brassage, surveillance de l’humidité et des apports).
- Implication continue : cette gestion permettait d’éviter l’apparition de nuisibles, de mauvaises odeurs et les erreurs d’utilisation.
Suite à ces conditions complexes, il a été décidé de retirer les composteurs afin de préserver le confort et l’hygiène de la résidence.
Quelles alternatives ?
Une solution envisageable serait la mise en place d’un compost de quartier, géré par la mairie, idéalement près de la zone de tri sélectif dans la rue montante.
Ainsi, la responsabilité serait portée par la collectivité de commune et non uniquement par les résidents de la résidence Origine Trévoux.
Ce point doit être clarifié avec la mairie de Trévoux. Une communication complémentaire sera faite dès réception de leur retour.
À l’avenir, rien n’empêche toutefois de réintroduire un compost au sein de la résidence, si un groupe de volontaires souhaite s’investir collectivement dans sa gestion.
Des composteurs mis à disposition par la mairie
La mairie de Trévoux propose des composteurs accessibles à l’ensemble des habitants de la commune.
Pour localiser les composteurs les plus proches, vous pouvez consulter ce lien : Carte des composteurs de Trévoux.
Une réponse
Bonjour,
Merci pour ces précisions, bien que j’en comprenne les raisons, il me semble néanmoins important que toutes modifications, ajouts, suppressions soient soumis au vote. J’avais cru comprendre que toutes actions devaient être proposées et validées à la prochaine AG, est ce bien cela ?
Bien à vous,
Corinne